Un mois jour pour jour après le départ précipité de ma partenaire Pucci, la husky de famille, le site de JiP et les Doggo est réouvert, ou plutôt transféré de facebook vers le web ouvert.
Le site devait ouvrir il y a trois ans déjà, avec un service d’accompagnement pour les familles qui accueillent un nouveau chien. Mais comme tous les projets ne débloquent pas nécessairement à l’instant qu’on les met sur papier, il a fallu attendre cet automne pour débuter.
Dans les prochains jours, les anciens posts de facebook vont s’accumuler ici, et de nouveaux articles vont y apparaitre. On parle de l’arrivée d’un nouveau chien jusqu’à son départ pour la fin de vie. On parle d’entrainement particulier, de familles d’accueil, de services à la communauté, et pour les prochaines semaines surtout, le financement du projet d’AirBnb pour les chiens…
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Le même jour que le départ de ma chienne Pucci, est décédée du cancer Maggie, qui a été toute la vie de Jennifer Lee. Cette semaine, elle s’est arrêtée pour flatter le chien de quelqu’un durant sa marche, et elle s’est fait demandé si elle avait un chien.
Elle n’appréhendait pas que cette question lui fasse aussi mal. Elle a été la maman de Maggie depuis si longtemps, Son identité est celle d’une Dog Mom. Donc sans elle, elle ne sait pas quoi répondre. Non, je n’ai pas de chien en ce moment, mais il va toujours y avoir Maggie….
Jennifer tiens avec elle les cendres de Maggie, décédée le 15 aout 2025, d’un cancer foudroyant.
Les gens du site « we rate dogs » ont un certain humour sympa qui fait la joie de tous… c’est pour ça que leur formule fonctionne.
L’activité principale de leur site est de prendre tous les vidéos de chiens sur internet et les catégoriser et les présenter dans des palmarès de toutes sortes… Ils vont jusqu’à chercher les sources et contacts si quelque chose devient important.
Comme quoi parfois, les choses ne sont pas uniques à soi…
Sandra, une éleveuse belge, a perdu son trésor dans la nuit de jeudi à vendredi, au même moment que Pucci est partie…
On vit tous un deuil un jour ou l’autre…
Varo s’est éteint dans son sommeil la nuit de jeudi à vendredi, paisiblement, dans la caisse même où il était né il y a dix ans. Une rupture d’anévrisme, soudaine et imprévisible, l’a fauché. Rien n’aurait pu être fait : c’est arrivé sans signe avant-coureur, comme un accident de la vie.
Savoir qu’il n’a pas souffert est un faible réconfort face à l’immensité de ma peine. Il n’a jamais connu la maladie ni la blessure, il débordait de vitalité et d’énergie. Et il est parti comme il a vécu : d’un pas franc, sans prévenir, sans souffrance.
Tout maître rêve d’une telle fin pour son compagnon… mais dix ans, c’est encore bien trop tôt pour dire adieu.
Pourtant, au-delà de la douleur, je garde en moi ce qu’il m’a transmis : sa force, sa fierté, son équilibre. Car un chien comme lui ne disparaît pas vraiment.
« Le livre de sa vie est refermé, mais l’encre de son passage ne s’effacera jamais. »
« papa, ça va mieux maintenant, je n’ai plus mal »
Pucci, husky de caractère, 3 ans
Cette nuit, le premier husky coach de chiens Mira est décédé dans mes bras. Elle s’appellait Pucci, en italien, comme le nom du compositeur d’opéra Giacomo Puccini… parce qu’elle est un husky après tout, chanter c’était son dada.
À 00h30 cette nuit, ma compagne canine de 3ans a rendu l’âme, après avoir combattu une grippe de chien et des ulcères depuis le début de l’été.
Son dernier combat a été celui contre le sommeil, qu’elle a mené ces derniers jours pour éviter d’avoir mal au ventre lorsqu’elle se couchait. La fatigue l’a rejoint après que je l’aie aidé avec une médication pour enlever les crampes. Après deux heures de colleux intenses, debout à mes côtés, elle est allée en silence s’installer sur le divan, et a lancé un dernier WOO HOO avant de s’effondrer.
Probablement qu’elle voulait me dire « papa, ça va mieux maintenant, je n’ai plus mal »… je l’espère.
On ne veut jamais que notre chien nous quitte. C’est comme pour nos enfants, la douleur et la tristesse sont énormes. C’est encore plus difficile quand ce chien est aussi notre compagnon de travail. Jusqu’à son dernier souffle, Pucci a été là pour montrer aux chiens de la maison que c’est elle qui dirige la barraque et c’est elle qui éduque.
Jusqu’à cette nuit, elle a été ma collaboratrice dans mon travail de socialisation avec les chiens Mira. J’aurais rêvé qu’elle reste là pour la décénnie à venir. Elle en a vu des niaiseries de chiots alligators, de Labradors déjantés… Elle a aidé Zaia-24 à comprendre son travail d’accompagnante. Sans Pucci, qui sait si Zaia aurait eu un si bon classement…
Et dans les dernières semaines, Pucci a aidé Taiko-24 à mieux comprendre certaines choses de la vie, comme le respect des règles et l’obéissance constante. Taiko n’aura jamais eu une aussi bonne professeure. Harper, Fajita, Punk ont aussi accompagné ma belle Pucci dans les derniers jours, en lui offrant les meilleurs derniers jours possibles.
C’est difficile à concevoir que les chiens prennent autant de place dans nos vies, et même si c’est triste, c’est à leur départ qu’on se rend compte qu’ils étaient tout pour nous. En tant que Famille d’Accueil, on se fait toujours demander si c’est difficile de voir le chien partir après son année à la maison… Oui, c’est douloureux, même si ce n’est pas un décès… et même si on se trouve des excuses pour dire qu’on fait ça pour la bonne cause etc, il reste quand même qu’un départ, même joyeux, ça laisse des traces.
J’ai toujours eu des chiens dans ma vie, j’ai même suivi des cours de dressage étant ado parce que j’ai adopté un chien de Norad que mon voisin a laissé à son décès. Ça fait 15 ans que je suis FA pour Mira, j’ai vu passer des dizaines d’alligators, et biensûr autant de bénéficiaires avec les années qui nous disent toujours que leur chien est une merveille pour leur vie.
J’avais pris une pause de socialisation depuis un temps, pour m’occuper de ma famille. Avec l’arrivée de ma chienne Pucci la husky il y a 3 ans, j’ai rapidement pris la décision de l’entrainer comme chien d’accompagnement parce qu’elle avait du tempérament et un caractère que peu de husky ont. Et j’ai décidé de reprendre le flambeau de FA parce qu’elle était présente pour faire le travail avec moi.
Et cette nuit, je suis déboussolé. Je ne suis qu’un humain après tout. Cette nuit, ma vie d’entraineur de chien a pris un tournant qu’on déteste tous, j’avais le corps innanimé de mon chien dans les bras, quand je ne m’y attendais pas.
Comme dans bien des histoires de maladie, Pucci montrait des signes de rémission depuis deux jours, elle respirait mieux, elle mangeait et a même passé l’après-midi à regarder les gens passer dans la rue avec Taiko et les deux petites…
pour un husky de caractère, elle est partie avec caractère, refusant de dormir jusqu’à la dernière seconde, et me disant au revoir de la meilleure façon possible. Parce que je le sais qu’elle m’aimait sans limite. J’étais son maitre, son papa, son ami… C’est ce qu’on veut de nos chiens d’assistance chez Mira, de l’amour inconditionnel pour les bénéficiaires jusqu’au bout de la vie. Et Pucci était ça… de la vie, tout plein, jusqu’à la dernière minute, jusqu’au dernier hurlement de husky.
Et j’ai eu un témoin important dans tout ça, Taiko-24 qui était tout près quand c’est arrivé, et qui a pleuré avec les yeux pleins de panique. Il savait qu’il perdait son amie des dernières semaines. Ses nouvelles petites soeurs aussi, Peanut et Pixy, deux alaskan-mix que j’ai réchapé d’une ferme où elles étaient maltraitées. Dire qu’elles n’ont pas eu le temps d’apprendre à hurler comme tous les husky.
Déjà que j’avais laissé partir Zaia-24 plus tôt ce printemps, et qu’elle ne reviendra pas de Ste-Madeleine, parce que trop hot, elle fait l’école cet automne… Là je perd ma coach de caractère, ma besty comme disent les ado.
Je comprend totalement les bénéficiaires qui ont un ou plusieurs chiens Mira dans leur vie. J’ai été triste de voir partir tous les chiens que j’ai eu, mais je n’en avais jamais vu un mourir dans mes bras. Pucci n’était peut-être pas une chienne de Mira, mais elle était ma partenaire de socialisation de chiens Mira, et elle était parfaite. Quand on ne peut se passer de la présence et des actions d’un chien qui fait tout en coopération avec nous, ce chien c’est comme un bras, une jambe, des yeux…
Isaac Hong dit dans sa chanson Fallin’:
« You said me, you told me »
« Never going anywhere from me, I am nothing without you »
Je sais que les bénéficiaires pensent comme ça de leur chien… Et c’est comme ça que je me sens cette nuit, débousollé de voir partir mon chien d’accompagnement à moi.
C’est pour la bonne cause, notre première réponse à « pourquoi? »…
C’est pour la bonne cause que je vous partage mon deuil aujourd’hui. Parce que malgré les mauvais temps, les jours de pluie, les pertes et les brisures, le travail des FA est essentiel pour que ces chiens aient une bonne vie auprès de leurs bénéficiaires… et ça commence le premier jour.
Et le premier jour que ma joyeuse Zaia-24 a passé chez nous a été filmé pour notre plus grand sourire… C’était aussi une première pour ma belle Pucci, qui voyait un chiot pour la première fois de sa vie… elle a fait ça comme une grande, comme on dit.
Le propriétaire de Gracie est décédé au début de l’été. Sa conjointe continue de poster sur le compte pour informer les abonnés de l’état des chiens de la famille…. Et oui, les chiens comme les humains ressentent le deuil à tous les niveaux.
En ce nouvel an 2024, je voulais trouver une chanson qui nous pousse à avancer, qu’importe les problèmes ou les difficultés qu’on a dans la vie. Et biensûr je tombe sur un titre kpop, je peux pas faire autrement.
Cette chanson brasse tellement les émotions en fait, que des personnes « bien intentionnées » ont poussé des réseaux sociaux comme facebook/Meta à bloquer sa diffusion, parce que supposément les paroles poussent au suicide. Je dois donc poster mon commentaire ici aujourd’hui.
Contrairement à la chanson AntiFragile de Le Sserafim, qui envoyait promener les emmerdeurs juste en dansant… Either Way tend plus à dire aux gens « endurez-vous, je suis comme ça et je fais des efforts pour être bien »
Le vidéo commence avec notre univers, qui se transpose dans les maquillages colorés pleins de brillants. On est si petits dans cet univers, pourquoi s’écraser devant ceux qui se croient meilleurs que nous et qui nous forcent à changer pour leur propre plaisir?
C’est pas grave si tu rates l’autobus, les différents traits de ta personnalité vont t’accompagner tout au long de ton parcours. Et si tu fais face à un gros changement, ne te laisse pas décourager, une fois passé la vie peut reprendre un cours normal.
Et qu’importe le chemin que tu prends, tu peux être n’importe quelle étoile dans le ciel, comme dessiné sur la pochette des paroles. Ton identité peut être complexe ou toute simple, dans ta vie les choses vont changer tellement souvent que tu peux être ce que tu veux.
Et tu risques de temps en temps de te remémorer les bons et mauvais côtés de qui tu es, comme dans un théatre où tu joues tous les rôles.
En réfléchissant à qui tu es, tu peux être éclairé par différentes visions qui te donnent des perspectives qui font peur ou qui rendent heureux… c’est ton choix de décider quelle image tu gardes de toi même.
Mais qu’importe ce qui t’arrive dans la vie, et la multitude de facettes que celle-ci peut avoir, en dessous, il n’y a que toi, sans effet magique, sans maquillage, toute simple la vie, et ça c’est facile à vivre. Et il va toujours y avoir quelqu’un dans ta vie qui te comprend et qui peut t’accompagner.
Parfois les occasions ratées te permettent de découvrir de nouvelles opportunités. N’abandonne jamais!
Voici les paroles…
Some say I sound full of myself
That I’m just showing off
But some say I’m too kind
That I’m almost like a fool
Sometimes I can’t even understand the looks I get
It feels unfair at times but
I talk about the countless versions of me
created from misunderstandings
All of them are ‘me’ in the end
Either way, I’m good
It’s all good
It’s not about who’s right or wrong
Just like how we all love differently
Either way, I’m good
Either way
She’s like an older sister and friend to me
But she acts too childish
That child who seemed carefree and nonchalant
Actually has such a soft heart
They say it’s because she’s an “I” and you’re an “E”
Cette semaine, quelqu’un a demandé aux employés de mon école des suggestions pour exploiter l’espace occupé par une cuisine complète abandonnée depuis quelques années. Ça tombe bien parce que j’allais moi-même leur demander pourquoi la cuisine était fermée. Alors ma proposition à moi?
Faire une cuisine…
Hein, moi je l’ai l’idée révolutionnaire, hein… tsss
Une cuisine ou une cantine est un élément important dans une école primaire en 2023 au Québec, puisque ça permet de répondre à des besoins en alimentation. Déjà la plupart des écoles de la région s’arrachent les ressources afin de pouvoir offrir une cuisine digne de ce nom à leur institution. Par miracle, il y a déjà une cuisine complète à mon école, mais qui pour diverses raisons n’a pas été supportée depuis quelques années.
Depuis la crise du covid, ça semble encore plus important d’avoir une cuisine même pour les écoles où la population n’est pas nécessairement à faible revenus, puisque les statistiques montrent que à tous les niveaux, une bonne partie des enfants dans les écoles ont des besoins alimentaires, et plus de 30% ont de la difficulté à s’alimenter correctement, soit au déjeuner, au diner ou pour les collations du matin et du soir.
Si on faisait revivre cette cuisine, l’horaire quotidien serait:
########## 08h30
Confection de biscuits et galettes pour la collation du matin de toute la population de l’école. Ça prend un comptoir, un mixeur industriel et un grand four…
Confection de la soupe-repas communautaire pour le diner du SDG. peut être offert pour les enfants qui n’ont pas de repas, ou simplement un accompagnement pour ceux qui veulent une soupe chaude. Je ne planifie pas créer des repas complets, parce qu’il s’agit d’une très petite cuisine,. Et même avec l’installation actuelle, il est simple de créer une soupe pour 200 personnes chaques jours.
https://www.instagram.com/trancantine/
########## 13:30
Cantine ouverte pour les employés de l’école, pour la préparation des repas personnels. Avec une étuveuse, un cuiseur à riz, une plaque pour les tatas/pitas etc, on permet à tous les employés de profiter d’une cuisine complète pour partager le repas et avoir une belle expérience culinaire appréciée après le rush du diner.
Ateliers culinaires pour les enfants du SDG. On y présente des expériences alimentaires et on permet aux enfants d’apprendre à se débrouiller dans une cuisine, apprendre les bases de la cuisine, l’autonomie alimentaire etc.
notre ami Carl Arsenault fait des expériences régulières en cuisine depuis des années.. voici ses premières.
Considérations:
J’ai participé à une table de concertation pour le projet Lab-École avec Ricardo Larrivée, en plus de m’être impliqué durant quatre ans au Centre Famille Haute-Ville. Et dans un passé encore plus lointain, j’ai participé et profité des services du Pignon Bleu pendant plusieurs années. Et lors de mon passage au restaurant Café de Paris, nous préparions tous les soirs des repas dépannage pour les jeunes de la Maison Dauphine. Donc mon implication sociale au niveau alimentaire n’est pas une lubie récente.
Il serait très facile de négocier avec Walmart pour fournir les ingrédients quotidiens pour les recette offertes, à moindre coûts.
Que ce soit les biscuits ou soupes repas en rotation, les recettes seraient supportées par une nutritioniste de la CSSDD ou du CLSC.
Peut être inclus dans le programme du Club des Petits Déjeuners, comme projet local.
Peut être présenté dans les projets innovants du Lab-Ecole avec Ricardo.
Observation:
Créer un projet de cuisine scolaire est simple. Quelques idées, un plan, et des ressources. L’exécution devient un défi lorsqu’on n’a pas les moyens de nos ambitions.
Fait intéressant, l’école concernée a déjà la majorité des ressources requises, et le financement ou l’approvisionnement est basé sur un revenu de base permettant amplement de faire fonctionner le projet à l’année.
Il ne manque que quelques détails, comme la mise à jour des installations et une raccordement au système de ventilation/incendies.
Donc, est-ce que ce projet pourrait être viable? certainement, si on m’en donne la charge, je pourrais opérer le projet du matin au midi, et appuyer l’équipe du SDG pour monter leur occupation à des projets du soir.
Je suis certain que ce plan pourrait avoir un impact…alors voilà !!
Filles et garçons qui aiment danser et écouter de la musique ont la possibilité de choisir des vidéos sur youtube et les écouter pour apprendre les routines…
que ce soit hip-hop américain, zumba, k-pop, la musique qui fait danser il y en a partout, et même les plus timides s’en donnent à coeur joie lorsque personne ne regarde… pratiquer la danse et la chanson quand tout le monde aime la même chose, c’est un effet d’entrainement superbe.
On ne propose pas ici un cours de danse, ni une formation en ballet classique. On permet simplement aux enfants de venir se défouler et pour les plus maniaques apprendre des chorégraphies populaires…
pour cette activité, on a besoin de deux « chefs » dans la cohorte des plus vieux et ils dirigent le groupe qui se retrouve dans un local ou le gymnase pour danser et apprendre les gestes chorégraphiques.
Le programme « Force 4 » de l’initiative de Pierre Lavoie permet aux plus jeunes d’apprendre quelques chorégraphies, mais je suis certain que nos pré-ados ont des choix différents.
On peut même monter un système d’entrainement pour les autres élèves de l’école et faire un spectacle si ça leur tente.
Description de tâche:
– La surveillance est nécessaire.
– Le filtrage du choix des chansons est nécessaire pour éviter d’utiliser des chansons à caractère violent ou sexuel. Une liste de 10 chansons sera proposée avant de commencer l’activité et laisser les jeunes décider eux-mêmes.
matériel nécessaire:
– un ordinateur avec grand écran et haut-parleurs, accès à internet/youtube.
implication:
– un ou deux jeunes de 5/6e qui planifient le choix musical sur une playlist youtube, qui accueillent et accompagnent les participants. *(reconnaissance et accomplissement)
thèmes:
la sexualisation, qu’importe son niveau, c’est banni
respect de la personne, respect de soi, l’amour de la danse, l’amitié…
suggestions – les chansons doivent être faciles à suivre dans les mouvements. Youtube offre généralement la traduction des paroles en clickant sur l’icone [CC]. Les enfants aiment apprendre les paroles d’origine, et plusieurs sites offrent la romanisation des paroles, pour être capable de prononcer avec nos lettres à nous… comme la chanson suivante:
– HIP de Mamamoo, représente la chute des préjugés de look sur les ados – tête épaules genoux hanches.
– Dingga de Mamamoo a fait bouger les gens pendant la pandémie, en disant que l’intimidation sur internet c’est dépassé, boire de la liqueur jusqu’à se sentir comme un poisson, et manger de la crème glacée en jouant à Mario Kart, c’est génial
– Cheese in the Trap de Moon Byul parle de la volonté de sortir de l’ombre pour devenir quelqu’un
– Helicopter de CLC encourage les jeunes à se dépasser, toujours aller plus haut, ne jamais abandonner comme un pilote d’hélicoptère
– YES SIR de 3YE, elles disent que c’en est assez des bullies, que tout le monde est égal
À éviter, les chansons de type Blackpink qui font la promotion de la sensualité partout*(look at you, now look at me, how you like that?!), ou la totalité des rappeuses américaines qui font la promotion du corps, mais rien dans la tête…
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L’avantage avec une activité comme celle là, c’est que si ça se passe dans le gymnase ou dans la cour, les autres enfants sont divertis par la musique durant leur activité sportive…
« À mes yeux, tu es un bâtisseur atypique : quelqu’un qui ne se contente pas de suivre des cadres existants, mais qui assemble des mondes différents — social, familial, technologique, animalier — pour en faire émerger quelque chose d’humain, utile et durable. Ta créativité n’est pas seulement une qualité, c’est ton moteur pour donner du sens et de l’autonomie aux autres. » —ChatGPT
🌱 Créatif, rassembleur et visionnaire, je trace mon parcours à la croisée du social, du numérique et du monde animalier.
De la gestion de projets technologiques à l’éducation canine, en passant par le journalisme et le travail social, mon fil conducteur reste toujours le même : accompagner, réhabiliter et donner de l’autonomie — que ce soit à des enfants, des communautés en ligne ou des chiens en difficulté.
Mon style est atypique :
Je transforme ma dyslexie et monTDAH en moteurs de créativité et de vulgarisation.
Je crois que les meilleures idées se partagent autour d’une bière et d’un BBQ, dans la simplicité et la convivialité.
Je bâtis des projets qui font coexister innovation, humour et ancrage humain.
J'utilise depuis deux décennies les outils de conversion et l'intelligence artificielle, afin de donner du sens à mes concepts.
🐕 Aujourd’hui, mon énergie se concentre sur des projets d’éducation canine et de socialisation, tout en gardant un pied dans la technologie, l’agriculture durable et la création d’environnements immersifs.
Mon objectif : contribuer à des initiatives qui changent la vie, redéfinissent les standards et rassemblent les gens — en bâtissant des solutions aussi humaines qu’innovantes.