Comme quoi parfois, les choses ne sont pas uniques à soi…
Sandra, une éleveuse belge, a perdu son trésor dans la nuit de jeudi à vendredi, au même moment que Pucci est partie…
On vit tous un deuil un jour ou l’autre…
Varo s’est éteint dans son sommeil la nuit de jeudi à vendredi, paisiblement, dans la caisse même où il était né il y a dix ans. Une rupture d’anévrisme, soudaine et imprévisible, l’a fauché. Rien n’aurait pu être fait : c’est arrivé sans signe avant-coureur, comme un accident de la vie.
Savoir qu’il n’a pas souffert est un faible réconfort face à l’immensité de ma peine. Il n’a jamais connu la maladie ni la blessure, il débordait de vitalité et d’énergie. Et il est parti comme il a vécu : d’un pas franc, sans prévenir, sans souffrance.
Tout maître rêve d’une telle fin pour son compagnon… mais dix ans, c’est encore bien trop tôt pour dire adieu.
Pourtant, au-delà de la douleur, je garde en moi ce qu’il m’a transmis : sa force, sa fierté, son équilibre. Car un chien comme lui ne disparaît pas vraiment.
« Le livre de sa vie est refermé, mais l’encre de son passage ne s’effacera jamais. »
source: Sandra Thorez
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