Rain Rain, Go Away!

tout le monde connait la fameuse comptine « pluie, pluie va-t’en », non?

voici les paroles…

Pluie, pluie, pluie vas-t-en
On aime pas le mauvais temps
Maman/Johnny veut s’amuser
Pluie vas-t-en s’il te plait !

La version anglaise traduite a tout une autre histoire, qui parle de Johnny qui veut jouer…

Mais qui est ce Johnny ? Et pourquoi une si petite comptine a pris tant de place dans l’imaginaire des enfants depuis un demi-siècle?

Pour une toute autre raison que celle que vous vous imaginez. Hey non, il ne s’agit pas d’un moment d’imagination perdu d’un enfant qui attend d’aller jouer dehors…

En fait, il s’agit de Tommy, qui veut jouer dehors, mais l’histoire ne se termine pas là.

La famille Wright avec leur fils Tommy, ont de nouveaux voisins, les Sakkaro… et ces voisins ont une étrange manie, de fuir dès qu’il est question d’eau, de pluie, de café ou de jus… Et le petit Tommy voudrait bien jouer avec le fils des voisins, mais dès qu’il pleut, ils quittent… Donc Tommy a bien hâte qu’il cesse de pleuvoir.

Étrange tout de même ces voisins, qui lors du retour d’une fête foraine doivent fuire à l’intérieur de leur maison avant que la pluie ne tombe… mais trop tard. Ils se font mouiller en voulant rentrer à la maison, et se mettent à fondre avant d’être rendus.

… comme du sucre!

Cette rubrique de « science-fiction » a été écrite par mon auteur préféré, Isaac Asimov, en septembre 1959, avec le titre original « rain, rain, go away! »

clickez sur l’image pour lire l’histoire en anglais…

Asimov avait une tendance à l’ironie et à un humour de troisième degré dans ses écrits, comme il est démontré dans ce texte de quelques pages, puisque le Sakkaro vient de la Saccharose, un sucre végétal doux.

Asimov répondait à la suggestion d’un autre auteur et éditeur d’une revue de Science-Fictions, Bob Mills, qui était de créer des histoires sur les légendes urbaines du temps, et Asimov a répondu en utilisant l’expression « va jouer dehors même si il pleut, tu fondras pas, t’es pas fait en sucre »…

Tout le reste n’est que comptine…

Mais pas tant. puisqu’un autre de mes artistes préférés a utilisé cette histoire pour faire une chanson cool… même si méconnue…

… bonne pluie!

Le challenge du mois de mai: Prendre notre projet  » l’école de la classe à la maison  » et l’apporter au niveau supérieur.

Jusqu’à cette semaine, il n’y avait qu’un démo à présenter aux écoles de la région, et la réponse de tous les directeurs d’école consultés a été la même: « on attend l’annonce de la réouverture des écoles »

maintenant que c’est fait et que le ministre de l’éducation nous fait le cadeau de la disponibilité de plus de 15 000 ipads pour les élèves du primaire, il est temps de se positionner pour faire avancer le projet et le rendre accessible pour toutes les écoles de la province pour la reprise des cours en septembre.

Le pilote est simple; utiliser ce qu’on a sous la main parce que de réinventer la roue c’est inutile. Notre plateforme est efficace et testée avec plusieurs centaines de miliers d’utilisateurs sur des milliers de sites à travers la planète. Nous n’utiliseront pas les ressources du ministère qui ont besoin d’être mises à jours de façon magistrale avant d’être efficaces *(désolé chers fonctionnaires, mais windows office, c’est pas une plateforme de communauté)

vous me connaissez, ça fait plus de 30 ans que je fait la promotion du open source sous WordPress et Opentext First-class. Étant « connu » du milieu, j’ai glissé mon expertise sous les draps des plus grands développeurs de ce domaine qui touche plus du tiers des sites web publics de la planète… Et maintenant j’en profite pour lancer un petit projet qui pourrait devenir grand.

En utilisant ce qui existe déjà, soit WordPress, Buddypress, buddyboss Platform, Learndash, Woocommerce et d’autres outils hyper connus, construire une ressource éducationnelle disponible pour les classes, les écoles, et les parents-enseignants, afin d’uniformiser le contenu de base de la matière enseignée aux enfants du québec, et ce directement en classe et à la maison.

Le principe est facile à appliquer, et facile à exploiter. J’ai le meilleur partenaire du monde pour ce qui est du montage et de la diffusion sur internet de cette plateforme. Notre hébergeur/diffuseur québécois de surcroit est flexible, sympatique et disponible. Reste maintenant à trouver les autres collaborateurs pour ce projet qui est déjà assez bien balancé sur papier…

Qui apportera ses connaissances du milieu de l’éducation? Et qui proposera des idées applicables dans la situation de la crise du covid afin de nous mettre à l’avant dans cette course à l’exploit?

Parce que le travail est tout simple: mettre du contenu disponible pour les parents et professeurs qui veulent construire leur cursus avec la base, et les conseiller sur ce qui pourrait être ajouté de façon logique selon le niveau enseigné, afin de rendre le contenu des cours plus intéressant pour les élèves.

Il y a trois plans sur ce projet, puisque l’engin est flexible à ce point;

1- Le secteur grand public permet aux 1800 parents qui enseignent à la maison de partager entre eux du contenu pour chaque niveau du primaire. On peut leur tendre la main et leur offrir la plateforme disponible avec du contenu existant et leur permettre de travailler en équipe avec d’autres parents et professeurs bénévoles.

2- L’accès Classe, qui permet à un professeur de créer sa classe virtuelle, avec toutes les facilités et outils qui lui permettent de gérer les exercices virtuels et devoirs de la maison. Tous les professeurs peuvent partager ou non des devoirs, exercices qu’ils créent sur la plateforme, se donnant par le fait même un esprit de camaraderie à travers le corps enseignant de la province.

3- L’accès École, qui crée un environnement fermé complètement gérable à partir de l’école, avec tous les outils qui permettent de créer un réseau social sécuritaire et sécurisé pour le corps enseignant, le service de garde, les parents et élèves, qu’ils soient dans l’école ou à la maison.

Il est certain qu’on ne peut exploiter ces trois plans d’un seul coup dès le lancement du projet, mais c’est dans l’univers du très possible… Tout dépend du temps qu’on y met, et des ressources disponibles. Nous avons la machine web d’établie, les logiciels, plugins et extensions que je fournis, maintenant il reste à construire le contenu et surtout définir une technique de marketing pour faire connaitre le projet et tenter de vendre la bête au ministère de l’éducation.

À moins que le concept de « acheter local » ne vous intéresse pas et que vous préfériez laisser à San Francisco et ClassDojo être la seule plateforme éducationnelle valable pour le Québec ?

Serment d’Hippocrate, mon cul ouais…

Je jure par Apollon, médecin, par Esculape, par Hygie et Panacée, par tous les dieux et toutes les déesses, les prenant à témoin que je remplirai, suivant mes forces et ma capacité, le serment et l’engagement suivant :

« Je mettrai mon maître de médecin au même rang que les auteurs de mes jours, je partagerai avec lui mon avoir et, le cas échéant, je pourvoirai à ses besoins; je tiendrai ses enfants pour des frères, et, s’ils désirent apprendre la médecine, je la leur enseignerai sans salaire ni engagement. Je ferai part des préceptes, des leçons orales et du reste de l’enseignement à mes fils, à ceux de mon maître et aux disciples liés par engagement et un serment suivant la loi médicale, mais à nul autre. Je dirigerai le régime des malades à leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m’abstiendrai de tout mal et de toute injustice.

« Je ne remettrai à personne du poison, si on m’en demande, ni ne prendrai l’initiative d’une pareille suggestion; semblablement, je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif, je passerai ma vie et j’exercerai mon art dans l’innocence et la pureté. Je ne pratiquerai pas l’opération de la taille. Dans quelque maison que j’entre, j’y entrerai pour l’utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur, et surtout de la séduction des femmes et des garçons, libres ou esclaves. Quoi que je voie ou entende dans la société pendant l’exercice ou même hors de l’exercice de ma profession, je tairai ce qui n’a jamais besoin d’être divulgué, regardant la discrétion comme un devoir en pareil cas.

« Si je remplis ce serment sans l’enfreindre, qu’il me soit donné de jouir heureusement de la vie et de ma profession, honoré à jamais des hommes; si je le viole et que je me parjure, puissé-je avoir un sort contraire. »

Source : texte grec ancien, autour du 4e siècle avant J.-C.
Traduit par Émile Littré, 1819-1861

 

Ça c’est le serment que tous les médecins appuient lorsqu’ils commencent leurs études. c’est le serment affiché sur le site du Collège des Médecins du Québec… le CMQ ne pourra nier que ce serment ils doivent l’appuyer, puisqu’il fait partie de la base de la médecine depuis plus de 2000 ans, et que même eux le connaissent.  Ce n’est pas une légende urbaine.  Même que si ils effacent le serment sur leur site pour me contredire, comme on dit, les preuves sont là >

Lorsqu’on dit que les syndicats de médecins négocient leur entrée dans le système pour appuyer les infirmières, le seul problème que j’ai c’est deux mots: syndicats et négocient.

Je connais plein de médecins qui se foutent de négocier et qui veulent aider directement… et j’en connais d’autres qui disent « je vais faire la job de PAB, je veux être payé comme une PAB. »

oui y en a… et je peux leur laisser leur place de parking au besoin.

Les besoins de plusieurs…

La plus grande citation du cinéma de Science Fiction de tous les temps, entendue dans Star Trek The Wrath of Khan (1982), Par Spock qui sauve l’humanité en y laissant sa propre vie:

Don’t grief, Admiral, it’s just logical. The needs of the many outweigh the needs of the few, Or the one.

Ne vous en faites pas, Amiral, c’est tout simplement logique. Les besoins de beaucoup l’emportent sur les besoins de quelques-uns, ou de l’un.

En plus d’être un moment très émouvant de la science-fiction qui démarque l’amitié profonde entre deux hommes de carrière que toute la population a suivi pendant 35 ans, ça réveille dans le plus profond de chacun ce qui s’appelle le sacrifice, que peu aujourd’hui connaissent parce que la vie est rendue trop facile.

Cette citation s’applique parfaitement à ce qui se passe en ce moment sur la planète, où les « besoins » de certains ne doivent pas surpasser les droits de survie de toute la population. C’est pour ça qu’il faut respecter le confinement où c’est nécessaire et arrêter de croire que ses besoins personnels sont des droits inaliénables.

… quelqu’un sur facebook m’a demandé « faduk le rapport avec Spock à matin? »

… le rapport est simple:  Spock s’est confiné volontairement pour que le reste de l’équipage ne soit pas tué par les radiations du moteur qui est brisé. C’est ça le sacrifier en restant en confinement…

edit:  pour mettre en contexte, j’ajoute ici la scène originale complète de 1985 suivie d’un extra:

 

Parce que cette scène avait tellement frappé l’historique de la série, lorsque les gens de Star Trek ont refait une nouvelle série de films dans les années 2010+, ils ont fait un petit re-build de cette scène, inversée et facile à mettre en contexte… puisqu’il s’agit d’un événement qui se passe 40ans avant la scène de 1985…

… sympatiquement, on voit le même Scotty dire la même chose à 40 ans d’intervalle… Et oui, Kirk survit dans cet épisode, ou plutôt il est rescucité médicalement.

quand même, 1275+ articles sur vBulletin…

J’ai quand même passé près de 8 ans à travailler sous vBulletin, et j’ai regardé ça ce soir… plus de 1275 articles et outils publiés sur le sujet dans toute ma carrière… et comme disait Paul M, vu ma grand yeulle, c’était jamais pour des commentaires à 10 mots.

Je n’ai jamais trop fait attention au nombre de sujets couverts durant ma présence dans cette communauté, mais il parrait qu’encore aujourd’hui, 8 ans plus tard, je reçoit toujours des commentaires et des messages privés même si j’ai clairement indiqué dans mon profil que j’avais pris ma retraite.

D’ailleurs ça me rappelle que certains de mes outils vBulletin auraient leur place à travers les milliers de plugins de WordPress… comme le Backup Style, qui éviterait à bien des propriétaires de blogs de perdre leurs fichiers d’images lorsqu’ils déménagent leur blog sur un autre serveur…

Mais bon, je focusse sur autre chose en ce moment, hein !!!

Un projet pilote ou pas…

petite annonce du lundi soir:

UnPapaPro.com *(moi, quoi) a reçu du « sous-ministre adjoint à la gouvernance des technologies, des infrastructures et des ressources de l’Éducation » du Québec l’approbation ministérielle afin de lancer un projet pilote de site éducationnel pour le niveau primaire, sur internet et en classe.

En transaction, on appelle ça un PoS, donc un Point de Service, qui permettra aux élèves, professeurs et parents de partager leur vie communautaire autant via le web qu’en classe sur les ordinateurs et tablettes.

Dans la mission du projet pilote, l’objectif n’est pas de créer un outil de toute pièce qui coûterait une fortune et qui serait gérable uniquement que par l’élite.

Au contraire, notre objectif est d’utiliser le plus possible les ressources « Open Source » afin de créer un site complet, sécuritaire et facilement gérable par l’administration de l’école. Notre plan est de permettre à une équipe de finissants de 6e année d’administrer le site d’années en années… L’implication sociale à son paroxisme, quoi!

Donc on ne créera rien, ou presque rien… je vais continuer de développer des extensions pour avoir tout ce dont on a besoin. Mais on va rouler sous WordPress, Buddypress et un LMS qui fera l’affaire.

Ce qui est important dans ce projet, c’est de donner à l’école et la communauté un système super cool, facile à utiliser même pour les enfants de maternelle, et qui est traduit dans la majorité des langues utilisées par notre communauté.

Ce qui va devenir la star de ce site, ce n’est pas l’outil, mais le contenu, le look créé par les élèves, et surtout l’ambiance.

Nous aurons à y greffer des outils et une nouvelle façon de gérer l’école en ligne, donc en même temps une nouvelle façon de voir l’école en général, comme suggéré par le ministre de l’éducation Mr Roberge, dans un de ses discours cette semaine, où il parlait de nous, les innovateurs qui se lancent dans des projets pour offrir plus et mieux pour nos enfants.

Que ce soit un projet pilote ou pas, ce site sera à l’image à venir de l’école St-Mathieu… et probablement d’autres écoles qui vont s’inspirer de nous, espérons le!

Le confinement des familles après une semaine…

J’ai été un peu chien ce matin sur les fils de nouvelles à propos de la première semaine de confinement gouvernemental… ma réponse à « comment allez vous après 5 jours sur 21 ? »

Ah moi ça va super ben…

Depuis que le gouvernement a décrété que les vacances d’été commençaient maintenant à la mi-mars, les enfants sont contents.

Mais j’ai pû remarquer un truc, la majorité des nouveaux parents qui ont un enfant au primaire ont besoin de se faire montrer quoi faire pour s’occuper de leur enfant en temps de vacances…

Donc on commence avec un exercice tout simple, l’identification des personnes… Vous vous placez devant votre enfant, et vous lui dites « bonjour, moi c’est maman/papa, toi tu t’appelles comment? »

… Parce que oui, certains parents n’ont même plus conscience que leur enfant a une personnalité bien à lui. C’est normal, puisque d’avoir envoyé son enfant en cpe à partir de 6 mois, et aller le chercher seulement pour le souper et dodo, ça ne donne pas tellement l’occasion de faire connaissance. Certains parents sont très anxieux de ne pas être à la hauteur en ces temps de confinement…

je vous reviens demain avec un autre exercice, on va demander à son enfant quels genre de jeux il aime faire à l’école…

Est-ce qu’il est dangereux de laver son linge dans une buanderie publique durant la quarantaine?

Il n’y a pas de technique miracle, mais comme pour tout virus/microbe/insecte connu, il est suggéré de toujours laver les vêtements à l’eau chaude et sécher à chaud le plus possible.

il a été reconnu par l’OMS que le virus pouvait rester dans l’air environ 6 heures, mais rien n’indique encore qu’il résiste à la chaleur du lavage… donc ne prennez pas de chance, lavez à l’eau chaude.

pourquoi la SAQ reste ouverte durant la pandémie ?!

la SAQ, Société des Alcools du Québec, et la SQDC ont l’autorisation de laisser leurs  boutiques ouvertes à travers la province, au moment où toutes les entreprises se font dire par le gouvernement qu’il faut fermer pour la sécurité.  Pourquoi une telle injustice ?!

au départ ça a l’air banal que la SAQ continue ses opérations, parce que ce n’est qu’un magasin où on vend du vin… et on n’a pas besoin de vin pour passer quelques jours en quarantaine.

par contre, ceux qui sont déjà accros, les alcooliques et les fumeurs de pot, vont avoir de la difficulté à passer à travers. C’est dans ces périodes là qu’ils sont le plus un problème pour la société, parce qu’ils ne se contrôlent plus, ils font des crises, ils volent et peuvent être violents – pas tous, mais certains…

alors on laisse la SAQ ouverte. ça permet aux infirmières des centres d’aide et des unités de soins psychiatriques d’avoir un répis… parce qu’ils vont arriver à un moment donné. mais plus c’est loin, plus les infirmières seront préparées.

Est-ce que mon enfant va être capable de passer son école dans l’état actuel?

 

Voici la référence du discours du ministre de l’Éducation, via facebook; https://www.facebook.com/369053516449628/videos/2986124504783481/

Depuis l’annonce du ministre de l’Éducation ce dimanche 22 mars, des centaines sinon des milliers de parents inquiets se demandent si leur enfant va être capable de passer son année scolaire sans être affecté par les cours qu’ils n’auront pas reçu.  Normal, si le ministre dit que les enfants vont être notés sur les deux premiers bulletin, ils n’auront pas reçu le contenu des cours de la troisième session.

Mais malgré le positivisme du ministre Roberge, est-ce que cette situation doit être aussi grave qu’elle en a l’air pour une majorité de parents?

Pas vraiment.

Premièrement ce sont quand même les professeurs qui vont élaborer le calcul des notes de fin d’année et déterminer au cas par cas si un enfant est assez confortable avec la matière pour passer son année sans être affecté pour l’année suivante.

Et Deuxièmement parce que le calcul ne se fait pas comme les parents le pensent, en général.  Après le deuxième bulletin, les enfants ne sont pas rendus à 66% de la matière à voir dans l’année.  Ils en sont généralement autour de 90% de la matière à voir.  Il reste donc 10% de la matière qui est principalement la suite des principes enseignés.  Le reste du trimestre sert à perfectionner ce qui a été acquis durant l’année.

C’est pour ça que le ministre suggère à partir de la semaine prochaine un suivit sur le site web du ministère et une occupation des ondes de Télé-Québec qui va diffuser des émissions éducatives et éducationnelles, afin de permettre aux enfants de rester alertes sur la matière qu’ils ont appris cette année et se garder à jour sur les notions qu’ils n’ont pas encore vu.

Un autre exemple de cette situation, c’est le contenu de mon article précédent, où je vous suggère des activités à faire avec vos enfants.  Chez Walmart*(qui va rester ouvert là où ils ont de l’épicerie), des livres Conformes au programme du ministre de l’éducation sont déjà disponibles pour les parents qui ont leurs enfants à la maison. Si vous faites le test avec votre enfant, il va vous dire que tout ce qui est dans un de ces livres a été vu en classe déjà… sauf biensûr quelques notions que certains professeurs passent et qui ne sont pas essentielles pour les élèves.

Alors est-ce qu’un enfant généralement dans la moyenne devrait être inquiet de ses notes pour l’an prochain?  Pas du tout.  L’ennuis par contre, qui accompagne le manque de présence en classe, ça c’est quelque chose qui doit être répondu.  Les enfants préfèrent être en groupe, ils veulent continuer d’apprendre, même lorsqu’ils regardent Youtube à journée longue.  Il ne faut pas nécessairement les garder dans le rythme scolaire, mais il faut leur réveiller les neuronnes, les garder attentifs…

Pour les plus jeunes enfants, l’exercice est super facile… vous les obligez légèrement à lire tout ce qu’ils voient… les instructions pour faire chauffer une pizza, les ingrédients sur un pot de confiture… des choses simples, mais qui leur permet de pratiquer leur lecture… et des livres… pas longtemps, 2 ou 3 pages par jour, c’est assez pour les réveiller – et parfois les emmerder.

Pour les enfants qui ont des difficultés marquées, le ministre a indiqué que les prochains jours allaient être importants et que les ressources allaient s’organiser.  N’oubliez pas que cette crise est toute récente… Ça prend du temps pour s’organiser et prendre des décisions sur l’avenir précaire des 1.2 million d’élèves du Québec…